L’huile, plus particulièrement la végétale, est un condiment primordial en cuisine. Arachide, tournesol, olive ou colza, on rencontre une variété spécialisée pour la préparation des mets et pour une cuisine bio et de façon saine. Il existe celles que l’on chauffe et celles qu’on mange crues.
Consommable ou pas
Surtout, soyez vigilant car la plupart des huiles végétales ne sont pas consommables. En réalité, on distingue une panoplie d’huiles que l’on ne présente exclusivement qu’en usage externe. De plus, il faut au préalable spécifier que les huiles animales ne s’emploient pas en gastronomie afin de pallier à l’argumentation du mauvais cholestérol. On décline une panoplie d’huiles de table sur le commerce, mais chacune s’emploie pour une technique de cuisson assez spéciale.
Faire le bon choix
Concernant les huiles végétales pour cuisiner, leurs ingrédients sont capitaux pour la santé, similairement aux vitamines. Par conséquent, ne lésinez pas à alterner vos huiles culinaires. En outre, ne réutilisez jamais une huile déjà employée, spécifiquement pour frire, car son réemploi peut gâter votre friteuse. Sachez que les huiles qui comportent des oméga 3 ne se mijotent pas, mais se servent crues en tant qu’assaisonnement. Par contre, celles solides et épaisses et qui n’en renferment pas sont plus dédiées à la friture.
La plus appréciée
Optez pour l’huile d’olive car elle sert pour les assaisonnements et pour les cuissons, à l’inverse de l’huile de colza. Étant donné qu’on peut la chauffer jusqu’à 180º C (olive vierge) et voire même jusqu’à 210°C (olive non-vierge), on peut frire avec. En cuisson, elle s’accompagne avec des poissons en papillote ou fumés, avec de la viande blanche ou des crustacés. De nos jours, on distingue d’authentiques appellations, similairement aux vins ou aux fromages. Sachez que l’acide oléique tonifie la sécrétion de bile qui garantit la bonne marche de la digestion.